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Un billet d’Olivier Ezratty m’a permis de découvrir une conférence de Michel Serres. Je découvrais sa pensée et j’ai passé un moment très intéressant. Certains sujets que je serai amené à aborder dans les temps à venir trouvent écho dans les propos de cette conférence.
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Premier retour sur la conférence de Michel Serres : je n’ai pu m’empêcher de noter la similitude entre ses propos sur la libération de l’humain entrainé par le développement de la technique, particulièrement une libération de temps, et l’amélioration de la productivité informationnelle permise par l’interfaçage que j’évoquais dans ce billet.
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Un article de PuttingPeopleFirst sur le projet WikiCity du MIT présentant les citadins comme des « actuateurs » de la ville agissant en fonction de leurs intérêts individuels et modelant la ville de manière émergente par leur action combinée. A cette vision, j’ai voulu opposer celle exprimée par Henri Laborit dans « L’homme et la ville » (1971) qui envisage la ville comme une structure engendrée par les organismes (au sens biologique) sociaux et leur permettant d’assurer leur pérennité. Nouvelle opposition des écoles holistes et réductionnistes…?
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Deux articles écrits par Rémi Sussan pour InternetActu abordent le sujet des IHM : un premier issu d’une série sur les mondes virtuels, et un second sur les agents virtuels « intelligent ». Je n’ai pas encore eu l’occasion d’aborder ce dernier sujet, mais je suis assez sceptique (ce dont je fais mention dans les commentaires) sur la possible création et encore plus sur la possible acceptation de tels agents pour nous remplacer sur certaines de nos routines.
18 Oct, 07 at 2:19
[…] Posted by joss under Usages Dans la conférence dont il est fait mention dans ce billet, Michel Serres entreprend une discussion sur le terme “adresse” qui ferait une […]
8 Nov, 07 at 1:42
[…] Un ancien post se faisait l’écho d’une conférence où Michel Serres discourait entre autres sur l’externalisation des fonctions humaines au travers des outils. L’évolution des IHM envisagée dans le billet mentionné au début de cet article consistait en un aller-retour entre embarquement et stationnarité des fonctions de l’interface, c’est-à-dire entre internalisation et externalisation, deux processus dont cet autre billet pointait les limites : l’internalisation “alourdit” l’utilisateur, et l’externalisation “alourdit” l’environnement. […]